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7 mars 2018 3 07 /03 /mars /2018 18:00
Participation aux bénéfices carrefour : 0 + 3 x rien = La direction + FO… main dans la main
 
 
 

FO dans un récent tract, « dénonce » le faible montant de la participation aux bénéfices de cette année lié aux résultats de 2017.

 

Petit rappel des faits :

En 2013, Carrefour décide de diminuer de moitié la participation aux bénéfices des salariés

(de 1 mois de salaire en moyenne, la nouvelle formule ne permet plus que d’avoir au maximum ½ mois de salaire).

 

Pour faire passer la pilule aux salariés, Carrefour a besoin de syndicats conciliants (FO et CFE-CGC) qui vont signer cette « nouvelle formule » moins avantageuse et relayer le discours de la direction… devenu depuis le fameux « slogan FO » : « sans signature y’a pas »

 

Devant la colère des salariés, Carrefour informe alors en catimini certains syndicats maisons (FO et CFE-CGC) qu’elle prévoit de donner un « complément de prime » à tous les salariés.

C’est ainsi que depuis deux ans, FO demande officiellement des « négociations pour un complément de prime » de participation aux bénéfices…. Tandis que Carrefour a déjà prévu de pouvoir donner ce complément.

 

Nous pouvons d’ores et déjà vous informer que Carrefour a prévu, pour cette année 2018, un complément de prime, FO et CFE-CGC n’en sont pas à l’origine.

 

Les responsables de la diminution de la participation aux bénéfices Carrefour sont FO ET CFE-CGC qui ont cautionné la « nouvelle formule » en 2013 :

Alors effectivement… « sans signature »
Y’avait pas……de prime diminuée !
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25 janvier 2018 4 25 /01 /janvier /2018 09:14
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24 janvier 2018 3 24 /01 /janvier /2018 18:32

bonne lecture ...

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22 janvier 2018 1 22 /01 /janvier /2018 15:27
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9 janvier 2018 2 09 /01 /janvier /2018 12:32

Les accords d’entreprise dérogent aux accords de branches, Sauf s’ils présentent des "garanties au moins équivalentes". Une nouveauté juridique, sujet à des contentieux. Dans la Chimie la CFDT à signé un salaire minimum en dessous du SMIC

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2018/01/05/97002-20180105FILWWW00152-chimie-les-syndicats-font-opposition-aux-salaires-minima.phpLa CFDT a habitué le patronat a être conciliante, à se plier à toutes leurs exigences, à promouvoir le profit du patronat plutôt que l’amélioration des conditions de travail, mais en décembre dernier, le syndicat, par le biais de sa branche Chimie, a ajouté une ligne de plus à son CV. En effet, la FCE-CFDT, la fédération de la chimie, a signé il y a moins d’un mois un acteur avec le patronat concernant les minimum salariaux qui fixe le salaire minimum dans la chimie en dessous du SMIC !.

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Published by L'équipe C.G.T. - dans Article de presse
27 décembre 2017 3 27 /12 /décembre /2017 11:07

Afin de résoudre le problème du modèle économique de l'hypermarché, mis à mal par la montée en puissance de l'e-commerce et les nouveaux modes de consommation, Alexandre Bompard va devoir faire évoluer en profondeur l'organisation du groupe.

Si Georges Plassat, malgré les mots très durs de son successeur sur son bilan, a su, sous sa présidence, remettre Carrefour dans les clous des fondamentaux de la grande distribution, à défaut de l'avoir préparé au commerce de demain, Alexandre Bompard a une tout autre mission : celle de briser les tabous. Car pour avoir été pionnier des hypermarchés, découvreur de nouveaux territoires à l'international, lanceur de tendances, le groupe, longtemps fier de son « quart d'heure d'avance » est aujourd'hui à la croisée des chemins.

Son fer de lance, l'hypermarché, ne sait plus où donner de la tête. Or, malgré la dimension multiformats du groupe, il contribuait encore pour 41 % du bénéfice avant impôt (Ebit) de Carrefour France en 2016, les activités hexagonales représentant 44 % de l'Ebit total. De fait, le concept du « tout sous le même toit » est attaqué de toute part : les sites marchands et leur choix infini, les déstockeurs et leurs offres attractives, les supermarchés avec leurs services de proximité, Leclerc et les maxidiscompteurs, enfin, avec leurs prix imbattables.  Sans parler des enseignes non-alimentaires , qui ont sorti les hypers des marchés du sport, du bricolage, de la mode bon marché, et des restaurants avec ou sans salle qui livrent leurs plats à domicile via des applications mobiles.

Face à cela, plus question de tergiverser : le premier distributeur français doit prendre plusieurs tournants stratégiques pour résoudre son problème de modèle économique. Pour ce faire, son nouveau patron devra briser pas moins de quatre tabous.

· Finie, la conquête du monde

Pionnier de la grande distribution dans les pays émergents, longtemps premier distributeur européen- encore le plus international parmi les exploitants de grandes surfaces alimentaires, Carrefour n'est plus un groupe conquérant. Le groupe s'est certes essentiellement retiré de pays où il avait échoué (Japon, Corée du sud), ou dans lesquels il n'était pas seul maître à bord (Turquie). Mais en vendant la Colombie, Georges Plassat a renoncé à un marché porteur. Alexandre Bompard devrait accélérer le mouvement. La Chine, l'Argentine, la Pologne sont citées, la Roumanie,  voire le Brésil pourraient l'être. Le groupe a démenti avoir mandaté des banques, pas qu'il pourrait vendre.

· Magasins à céder

Dans l'histoire de la grande distribution, le mouvement était jusqu'ici à la concentration opérationnelle, les petits groupes indépendants, voire certains commerçants des grands réseaux coopératifs passant sous le giron des groupes intégrés. C'est fini. La tendance s'inverse. Carrefour devrait ainsi placer en location-gérance des hypermarchés de villes petites et moyennes. Cinq sont cités ici et là, ceux de Cahors, Château-Thierry, Flers, Montluçon et Vernon, une vingtaine au total pourraient être concernée.

· Plan social en vue

Les coûts de personnel chez Carrefour France atteignent 18 % des charges totales, contre 16 % historiquement. Depuis la fusion avec Promodès en 1999, l'entreprise s'est complexifiée. Selon la CGT, Alexandre Bompard aurait décidé de trancher dans le vif. Quelque 1.200 postes seraient menacés au siège de Massy (Essonne), le siège historique de Promodès à Mondeville (Calvados) pourrait fermer, soit au total plus de 1.500 postes concernés. Dans les hypermarchés, plusieurs annonces auraient été faites au comité central d'entreprise, sur l'automatisation des stations-service, la suppression d'emplois administratifs et à la réception logistique, et celle des postes de vendeurs dans les rayons d'électrodomestique. Au total, ce seraient plus de 5.000 emplois concernés, selon le syndicat, sur près de 115.000 en France.

· Le concept unique a vécu

Réduction des surfaces, concession de certains rayons, développement du « food service », « satellite drive » avec une usine de préparation centralisée et des lieux de retrait sur des sites dans des zones de flux, etc. L'hypermarché a vécu comme « cathédrale » de la consommation, avec un large choix qui n'est plus fondamentalement utile. Carrefour va devoir retrouver l'agilité de ses débuts.

Sollicitée, la direction du groupe n'a pas souhaité faire de commentaires.


En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/0301060535188-comment-le-pdg-de-carrefour-va-briser-les-tabous-2141059.php#Wbw7SG0SvGEdXazE.99

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7 décembre 2017 4 07 /12 /décembre /2017 19:35

À Massy (Essonne), des salariés du groupe Carrefour se sont rassemblés, jeudi 7 décembre, pour protester contre des conditions de travail qui se dégradent et la crainte de licenciements.

Voir la vidéo
FRANCE 3
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publié le

Ils sont venus des quatre coins de l'Héxagone. Tous sont des salariés de Carrefour, c'est d'ailleurs la première fois que les collaborateurs de toutes les entités du groupe sont ainsi représentés. Trois ans que le leader français de la grande distribution peine à consolider son activité. La stagnation du chiffre d'affaire concerne la plupart des sociétés du groupe, à l'exception d'internet. Raison pour laquelle Alexandre Bompard envisage un bouleversement de l'organisation, tout cela dans un conteste de pression exercé par le management selon les salariés.

Les employés sont en colère

"Il faut accélérer la cadence, aider le client, et trouver des méthodes pour que le passage en caisse passe vite et qu'on en fasse plus", raconte une salariée. Surcharge de travail, harcèlement moral... les employés sont en colère. Pour le syndicat CGT, des milliers d'emplois pourraient être supprimés dans les prochaines semaines. "On a un PDG qui arrive pour dépecer le groupe, restructurer l'ensemble des entités qui composent le groupe", indique Franck Gaulin, délégué national Carrefour hypermarché. "On a aussi entendu parler de l'automatisation des entrepôts, il y a beaucoup d'inquiétude chez les salariés".

Contactée, la direction de l'entreprise indique : "aucune annonce n'ayant été faite, nous n'avons aucun commentaire à faire". Une annonce plus précise sera faite le 23 janvier prochain. 

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6 novembre 2017 1 06 /11 /novembre /2017 15:15
Où va la CFDT et sa direction ?

Beaucoup de syndicalistes ont encore la vision de Nicole Notat au JT de France 2 expliquant en 1995 que la CFDT n’appellerait pas à la mobilisation contre le plan Juppé, créant un tollé dans de nombreuses fédérations, surtout dans le service public et notamment à la SNCF. C’est dans ce contexte, après une scission entre CFDT et « CFDT en Lutte », que s’est produit la création du syndicat Sud Rail en 1996. Aujourd’hui Berger maintient cette tradition de trahison des mouvements sociaux, en déclarant que la grève est un outil archaïque, lui opposant le dialogue social, alors que lui-même reconnait que le « dialogue social » est aux abonnés absents dans la méthode des « concertations » que le gouvernement a mis en place pour faire passer les ordonnances.

Berger va jusqu’au bout de la ligne collaboriationniste de la CFDT

Contrairement à ses prédécesseurs qui jonglaient entre de soi-disant accords avec les gouvernements pour ne pas être dans la rue, Berger à complètement cassé les codes, officialisant que peu importe la teneur de la réforme, la confédération CFDT, même si elle veut bien être dans les intersyndicales pour discuter, ne souhaite pas descendre dans la rue. Le jusqu’au boutisme de cette stratégie s’est vu dans l’image symbolique de la dernière intersyndicale, lorsqu’à la fin de la réunion, ceux qui appelaient à la grève le 16 Novembre ont du rédiger leur appel dans un troquet, car la CFDT, qui organisait la réunion dans ses locaux, n’a pas souhaité donner de salle pour que les organisations syndicales y terminent leur discussion.

Voilà le niveau aujourd’hui d’unité syndicale qu’il y’a avec la CFDT. Avons-nous pour autant perdu tout espoir de voir la CFDT dans la rue ? Hélas, tant que Berger restera secrétaire général, et tant que la bureaucratie de ce syndicat maintiendra une politique de collaboration de classe avec les gouvernements, on ne pourra rien espérer de la direction de la CFDT. Seul ombre au tableau pour ces liquidationistes de l’unité syndicale : la colère qui commence à monter dans les rangs de la CFDT, surtout à la base, notamment du coté de la CFDT Métallurgie, dont les interpellations envers Berger fragilisent la politique pro-Macron de la tête du syndicat.

Une collaboration qui va coûter cher à tous les syndicats CFDT de base

Il faut savoir qu’au-delà de ne pas appeler à la mobilisation, la direction de la CFDT joue un jeu de collaboration pro-actif, en tentant de menotter les syndicats qui souhaitent combattre les lois macroniennes. La CFDT fonction publique a ainsi menacé de quitter l’intersyndicale et la mobilisation du service public, alors qu’elle était présente le 10 octobre aux côtés des autres organisations syndicales, si la CGT fonction publique appelait à converger le 16 novembre avec les autres secteurs par une manifestation interprofessionnelle. Voilà la réalité d’une bureaucratie syndicale qui fait le jeu du gouvernement jusqu’à faire pression sur les autres syndicats pour qu’ils fassent de même.

Il va donc falloir qu’à l’image des militants de FO qui ont poussé Jean Claude Mailly à revoir sa copie, les militants CFDT de la base fassent de même, car ils seront sûrement les grands perdants de l’échec de la mobilisation contre le gouvernement Macron.

La CFDT, en tant que première organisation syndicale dans le privé, compte énormément d’élus du personnel dans ce secteur. Mais que deviendront-ils avec la fin des DP, CE et CHSCT ? Le décret de fusion des IRP (instances représentatives du personnel) étant tombé la semaine dernière, c’est presque la moitié des élus de la CFDT qui disparaitront, ainsi que 2/3 des moyens temps syndicaux qui leur sont alloués pour tourner dans les usines et les entreprises afin de « défendre les salariés sur les lieux de travail ». Toute la rhétorique développée par Berger selon laquelle il faut mener les combats au niveau des entreprises, et non dans la rue en manifestant, s’écroule donc.

La tentative de la direction de la CFDT de maintenir un « dialogue social » dans l’entreprise, qui se traduit par la signature compulsive de tous les accords d’entreprise, commence par ailleurs à s’essouffler, au moment où, grâce aux ordonnances, les patrons vont avoir la possibilité de mettre en place des accords sans majorité ou encore de faire appel au référendum d’entreprise autant de fois que nécessaire, peu importe le nombre de votants et de rejets du référendum.

A qui sert la politique de la CFDT ?

Malgré ses gesticulations médiatiques, la bureaucratie de la CFDT continue de maintenir ses liens de collaboration étroits qu’elle à failli perdre un temps face à Mailly. Cette collaboration sert surtout à briguer des postes privilégiés dans les ministères ou les think-tank comme Terra Nova, où de nombreux « syndicalistes » et notamment Francois Chérèque, ont vécu des jours heureux.

La CFDT espère également, avec moitié moins d’élu, vivre financièrement de son syndicalisme de collaboration. Car un des enjeux derrière cette trahison du mouvement social, n’est ni plus ni moins que l’argent promis par Macron pour la formation professionnelle. Environs 25 millions pour la CGT et 20 millions pour la CFDT. Voilà le nerf de la guerre, qui fait que plus personne dans les sièges des confédérations ne trouve le bouton de la grève générale, caché derrière le coffre fort des secrétaires généraux. En échange de quelques millions, qui ne sont que des gouttes d’eau comparés aux milliards de bénéfice du patronat, la CFDT nous guide tout droit vers la fin du code du travail, elle qui s’était félicité de contribuer à l’écriture de 80% de la Loi El khomri.

Une seule solution s’offre aux militants de la CFDT : remettre en cause la politique de Laurent Berger et ses collaborateurs, et proposer une politique alternative, dans le sens de la défense du Code du travail et du retrait des ordonnances. Car si Berger n’aura pas de problèmes à vivre avec les ordonnances, lui qui ne travaille pas dans une usine, et qui n’est confronté à aucun salarié, dans quelques mois, quand les ordonnances seront appliquées partout, la facture va être très douloureuse pour tous les salariés, y compris les syndiqués CFDT.

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2 novembre 2017 4 02 /11 /novembre /2017 11:17

« Rien ne fait plus de mal aux travailleurs que la collaboration de classes. La lutte de classes, au contraire, est la base de l'unité, son motif le plus puissant. C'est pour la mener avec succès en rassemblant l'ensemble des travailleurs que fut fondée la CGT. Or la lutte de classes n'est pas une invention, c'est un fait. Il ne suffit pas de la nier pour qu'elle cesse : renoncer à la mener équivaut pour la classe ouvrière à se livrer pieds et poings liés à l'exploitation et à l'écrasement. » « La régression sociale ne se négocie pas, elle se combat ! » H. Krasucki

Tout le jeu de la CFDT consiste à appuyer sur le fond la politique mise en oeuvre par Macron, tout en communiquant pour l'opinion et les salariés sur le thème " On n'est pas la courroie de transmission du pouvoir" et "si on ne nous écoute pas, nous allons réagir".

Attendant ainsi des signes de soit-disant contre-parties aux abandons face aux contre-réformes et à la remise en cause systématique de tous les conquis sociaux.

La CFDT serait donc le syndicat qui convient à l'ère macronienne ... pour faire passer les mauvais coups qui se préparent.

Mais rien ne dit que ça va se passer comme l'oligarchie le souhaite car la réponse appartient aux travailleurs et que de nombreux indices indiquent la montée des mécontentements et la fragilisation déjà du nouveau pouvoir.

ce n'est donc par surement pas sur la CFDT que les travailleurs peuvent compter !

 

 

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31 octobre 2017 2 31 /10 /octobre /2017 18:23

Je laisse ça là… :

Dans le projet de loi de finances de 2018, les entreprises se voient accorder des baisses massives d’impôts : réduction de l’impôt sur les sociétés à 25% d’ici 2022, suppression de la tranche supérieure de la taxe sur les salaires, suppression de la taxe sur la distribution de dividendes. Au total, le gouvernement Macron offre aux entreprises des réductions d’impôts de 15 à 17 milliards d’euros… qui iront pour une bonne part grossir les dividendes distribués à leurs actionnaires (45,8 milliards d’euros déjà distribués en 2016, soit 57 % des bénéfices des entreprises).

Et bonjour chez vous…

 

france.attac.org

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